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Marathon

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les avis de Cinemasie

4 critiques: 2.94/5

vos avis

22 critiques: 3.51/5

visiteurnote
Krakeninc 5
geez 5
Sauzer 4.5
shaya 4
dll_povtyp 4
Manolo 4
Dooliblog 4
JoHell 3.75
Simon VD 3.75
Black_pantha 3.75
Pikul 3.5
punkfloyd 3.5
koalaurent 3.5
Bastian Meiresonne 3.5
Clyde 3.5
tu0r 3.25
jeremiebarilone 3
Tred 2.75
Bamboo 2.75
eniger 2.5
Antaeus 2.5
Epikt 1.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Injustement méconnu et sous-estimé

Certains critiquent ce film pour ses bons sentiments et son côté guimauve, et ce sont les mêmes qui s'étonnent de l'état du monde .
 

01 septembre 2008
par Krakeninc


boulversant

Difficile de ne pas se laisser entrainer par cette histoire menée par d'excellents comédiens.Et pourtant le sujet pourrait facher,encore le theme du handicap...mais ici on s'interesse à l'autiste, et non à sa différence, comment lui faire exprimer ses peurs ou ses joies? par la course bien entendu!

21 juillet 2005
par Sauzer


Certes cliché mais dans le genre "autiste / handicapé" difficile de sortir des sentiers battus.

De plus, une belle histoire + inspiré d'une histoire vraie = ça va larmoyer dans les chaumières ! Cependant, et c'est finalement un peu le même reproche qu'on peut faire à cette catégorie de film : trop de pureté et naïveté touchante sur l'autisme à la "Huitième Jour", et pas assez de lumière sur les autres formes d'autisme qui sont évitées car trop peu comprises par le spectateur qui préfère du bouleversant séant, du mélo délicat... Enfin bon, à part cette petite parenthèse, rien d'autre à redire si ce n'est souligner l'excellente performance de l'acteur principal JO Seung-Wu pour le rôle clé. Un bon film donc, mais au thème bien typé et convenant.

15 juillet 2005
par koalaurent


Run, Cho-won, RUN !

Le film gagne en qualité au fil des visions. Il ne faut surtout pas s'attendre à la force d'un "Oasis" - film moins sur l'handicap, que sur les limites de la réalité à la fiction - mais "MArathon" reste tout de même supérieur à un "Rain Man" ou la ribambelle de films sportifs à succès japonais. Drôle d'hybride, le film convainc surtout par le sensible portrait d'une mère se battant de toutes ses forces pour l'intégration sociale à jamais impossible de son fils, puis son premier pas à lui accorder quelque liberté pour avancer seul dans la vie. Pour quelqu'un ayant déjà eu des contacts avec les autistes (ma femme travaille dans le milieu en ce moment), la représentation est une nouvelle fois très édulcorée. Si la notion de partage est effectivement absente dans bien des cas d'autisme - comme le souligne d'ailleurs à plusieurs reprises le film - il est d'autant plus surprenant de voir Cho-won finalement partager sa bouteille d'eau. Son appel déchirant à l'intention de sa mère est certes déchirant et déclencheur des séances de larmes en fin de film, mais totalement irréaliste. Abstraction faite de ces quelques imperfections, on ressent l'engagement du réalisateur ayant passé près d'un an auprès du véritable Cho-won, dont l'histoire est inspiré. Pléthore de petits détails dépassent le simple statut de comédie dramatique et sont merveilleusement rendus par son acteur à l'écran. Les séquences comiques avec l'entraîneur sont irrésistibles et font regretter la dernière partie versant dans un mélo par trop facile et appuyé. Reste que l'ensemble transpire d'un positivisme bienvenu et révèle au grand jour le talent certain de son réalisateur, qui semble le confirmer avec son second long métrage à être sorti le 04/11/2005 sur les écrans coréens et largement défendu par la profession comme un authentique chef-d'œuvre. A suivre...

06 novembre 2005
par Bastian Meiresonne


Bien entendu, "Marathon" est l'un de ces films well-made coréens qui remplissent leur contrat technique et narratif avec efficacité. Et celui-ci plus que d'autres, de par son sujet, saura sensibiliser le spectateur lambda. Mais reste que pour voir du cinéma doté de plus de prétentions artistiques et des autistes, on se tournera vers "Oasis" de Lee Chang-Dong et "A quiet life" de Itami Juzo.

24 juillet 2005
par Antaeus


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